Chapelle funéraire: parce que chaque rituel est unique

28 octobre 2014

Dans les moments douloureux, il est important de trouver réconfort et soutien. Chaque personne est unique, tout comme chaque rituel. C’est pourquoi les complexes et salons funéraires vous proposent une vaste gamme de services pour répondre à vos besoins, dont des columbariums, des chapelles funéraires et des salles de réception.

Chapelle funéraire: parce que chaque rituel est unique

Tous les services sous un même toit

La plupart du temps, une cérémonie funéraire se déroule dans une église ou une chapelle funéraire. Le directeur des funérailles coordonne le déroulement de la cérémonie, du début à la fin, des tâches administratives jusqu’aux derniers honneurs, soit l’enterrement ou la crémation, qui sont les deux rites funèbres les plus communs. Et quel que soit le rituel privilégié, le directeur des funérailles apportera aux personnes endeuillées un soutien de qualité empreint d’humanité, de compassion et de sensibilité. La chapelle funéraire est l’un des services funéraires commémoratifs qui inspirent le recueillement, la prière, tout en permettant aux personnes endeuillées de recevoir les messages de condoléances.

Vivre un deuil

La perte d’un proche est un événement pénible, et il faudrait en moyenne deux ans pour vivre un deuil, selon la relation que l’on entretenait avec la personne décédée et les circonstances de sa mort. Parmi les étapes du deuil, on distingue généralement:

  1. Le choc ou le déni;
  2. La colère;
  3. Le marchandage;
  4. La dépression réactionnelle/la tristesse;
  5. La restructuration/l’acceptation.

Les enfants et le deuil

Pour un enfant, le vécu du deuil pourra varier en fonction de son âge.

  • De 0 à 3 ans: un bambin n’a pas conscience de la disparition de la personne, mais il ressent profondément la tristesse des autres et peut être envahi par des angoisses de séparation.
  • De 4 à 6 ans: l’enfant a conscience de la mort, mais la perçoit comme temporaire. Sa souffrance peut se réveiller bien des années plus tard.
  • De 7 à 10 ans: il comprend que la mort est irréversible et définitive, et ressent souvent un fort sentiment de culpabilité, croyant qu’il aurait peut-être pu changer le cours des choses.
  • Adolescence: vivre un deuil à cette période de la vie est à risque puisque l’adolescence en soi implique également de faire le deuil de l’enfance. Les sentiments d’un adolescent endeuillé peuvent donc parfois être très intenses.

Les adultes doivent être à l’écoute des enfants, peu importe leur âge, car ils ont eux aussi besoin de temps pour réaliser la disparition d’un proche. Et dans le cas où c’est justement un enfant qui perd un parent, il est important de lui faire comprendre que les gens n’oublieront pas le parent décédé et qu’il aura toujours une place dans leurs cœurs. On lui dit, mais on lui montre aussi qu’on continuera d’aimer cette personne.

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